«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Pour la première fois, trois marins français ont été enlevés au large du Nigeria, le 22 septembre. Mais selon le quotidien burkinabé Le Pays, l'événement était prévisible. A trop dépouiller les économies africaines, le gouvernement et les multinationales françaises ont fait le lit des organisations terroristes. [Lire l'article complet sur courrierinternational.com] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
A lire également :
|
|||