«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
De la misère d’un certain journalisme politique qui ne craint pas de s’affliger de la version de la politique qu’il nous inflige. Que le mode de désignation du candidat ou de la candidate du Parti socialiste pour l’élection présidentielle de 2012 préoccupe l’état-major de ce parti (et d’un certain nombre de ses militants), qui pourrait en douter ? Mais qui pourrait en tirer argument pour justifier les innombrables prestations de ce journalisme politique qui respirant le même air, brasse le même vent, avec cet air toutefois de ne pas y toucher, de ne pas être dupe, et même de prendre ses distances. Cette ironique distance qui sépare l’hôpital de la charité. [Lire l'article complet sur acrimed.org] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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