«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Parmi les mille et un renoncements de la gauche néolibérale au pouvoir, il faut mentionner la politique pénale – et plus particulièrement la gestion du milieu carcéral, qui reste désastreuse. Une zone obscure – « case noire » dira Michel Foucault au moment de créer, dans les années 1970, le GIP avec Gilles Deleuze – où, en plus des multiples négations de la dignité humaine maintes fois relevées par la Cour européenne des droits de l’homme (surpopulation chronique, mauvaises conditions de détention, traitement des mineurs), sévit le racket éhonté des personnes détenues par de grandes firmes privées. Or, pour la première fois, la ministre de la Justice déclare officiellement s’en accommoder. [Lire l'article complet sur clementsenechal.com] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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