«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
L'exploitation du gaz de schiste ne sera pas acceptée par la population tant que la science n'aura pas dissipé les doutes quant à ses effets sur la santé et l'environnement, prévient une étude commandée par le gouvernement Harper. À la demande de l'ancien ministre de l'Environnement, Peter Kent, le Conseil des académies canadiennes s'est penché sur l'impact de l'extraction par fracturation hydraulique. Son rapport final, publié hier matin, conclut que les effets de cette technique sont, somme toute, méconnus. [Lire l'article complet sur lapresse.ca] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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