«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
L’essentiel de la crise actuelle est, pour le commun des mortels, extrêmement abstraite : difficile de comprendre la voltige de ces milliers de milliards, devenus l’unité de compte des désastres bancaires et des déficits publics. Les uns comme les autres évoluent dans un autre univers que celui des vrais gens, qui savent seulement que cette accumulation d’abstractions entraine pour eux deux conséquences épouvantables : le chômage et le surendettement. [Lire l'article complet sur blogs.lexpress.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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