«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Le Canard enchaîné rapporte un échange de propos croustillants entre trois ministres de la République assistant, au banc du gouvernement, à la rituelle séance des questions d’actualité à l’Assemblée nationale. Roselyne Bachelot arrive, excédée, d’une séance du “Grenelle des ondes”, où sont censés discuter les opérateurs de téléphonie mobile avec les cinglés qui prétendent que les antennes relais sont la cause de toutes sortes de maladies frappant ceux qui demeurent à proximité. “Qu’est-ce que j’en ai marre de ces Grenelle qui ne servent à rien !”, lance-t-elle à sa collègue Nadine Morano, avant d’ajouter, hilare : “On devrait plutôt faire un Grenelle du cul !” Réponse de la secrétaire d’Etat à la Famille à la ministre de la Santé : “Dans ce cas-là, on devrait prendre Christine Boutin comme marraine !” La catho tradi ministre du Logement, assise tout près, encaisse la vanne et rétorque : “Oh, tu sais, Nadine, il faut se méfier de l’eau qui dort !” “T’inquiète pas, répond Morano, je n’ai jamais eu de doute te concernant.” [Lire l'article complet sur causeur.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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