«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
François Rouge, ex-président de la Banque de Patrimoines Privés, a reçu une proposition explosive d'un juge. Confrontation à Marseille A l'occasion de la confrontation organisée il y a deux jours à Marseille, Bazin a exonéré Paul Barril de toute responsabilité en ce qui concerne les règlements de comptes au sein du Cercle Concorde. François Rouge a fait de même. L'avocate du supergendarme, Me Sylvie Jonquet, a demandé sa mise en liberté estimant que le dossier était vide le concernant. Me Bonnant affirme que son client et l'ancien gendarme ne se sont vus que deux fois. Ce que personne ne nie aujourd'hui, en revanche, c'est la démarche engagée, en vain, auprès de Patrick Devedjian, l'un des patrons de l'UMP pour calmer le jeu... de manière plus diplomatique. «Sarkozy et Devedjian en échange d’un statut de repenti» L’enquête visant le milieu du grand banditisme corse et marseillais a, en effet, conduit les policiers à s’interroger sur l’étrange bienveillance des pouvoirs publics à l’égard du Cercle Concorde. Un établissement autour duquel gravitent tous les caïds corses et marseillais. Sa demande de réouverture a été plusieurs fois refusée jusqu’à l’arrivée de Nicolas Sarkozy au Ministère de l’intérieur en 2005. L’actuel locataire de l’Elysée prête alors l’oreille à ceux qui dans son entourage, notamment Patrick Devedjian, essayent de le convaincre de passer outre les réticences de ses services. [Lire l'article complet sur tdg.ch] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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