«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Les relevés de conversations téléphoniques de journalistes utilisés une deuxième fois dans l’affaire Bettencourt. D’abord par l’IGS, et maintenant par la justice, révèle lemonde.fr. Le procureur de Nanterre Philippe Courroye aurait cherché à faire dessaisir la juge Prévost-Desprez, en tentant de prouver qu’elle parlait à la presse… [Lire l'article complet sur france-info.com] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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