«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
La cour d'appel de Rennes donne raison à deux ex-attachées parlementaires de l'ancienne députée, qui réclamaient le versement de plusieurs mois de salaires non payés. Les faits remontent à 1997. Après la dissolution de l'Assemblée nationale, Ségolène Royal avait licencié, comme tous ses collègues députés, ses collaboratrices, attachées parlementaires. Les deux femmes l'avaient ensuite attaquée devant le conseil des prud'hommes de Niort, affirmant avoir continué à travailler pour elle pendant la campagne puis jusqu'en juillet, après son entrée dans le gouvernement Jospin. [Lire l'article complet sur liberation.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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