«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Une trentaine de fourgons de police, un hélicoptère de la garde civile et presque autant d'agents que de manifestants. Mardi 9 avril à 19 heures, la Plateforme des victimes des hypothèques (PAH) avait convoqué, devant le siège du Parti populaire (PP, conservateur), un "escrache", un rassemblement visant à identifier et à dénoncer les députés qui s'opposent au vote de l'initiative législative populaire contre les expulsions immobilières. [Lire l'article complet sur lemonde.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
A lire également : |
|||