«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Pour les dirigeants d'Olympia, la décision est "surréaliste" : le fabricant français de chaussettes a été condamné en fin de semaine dernière par la cour d'appel de Reims à verser 2,5 millions d'euros à quarante-sept salariés licenciés, pour ne pas leur avoir proposé un reclassement en Roumanie. Lundi 18 mai, la présidente d'Olympia a estimé que la condamnation "pourrait signer l'arrêt de mort de l'entreprise". Sonnée, Catherine Rambaud dénonce surtout ce qu'elle perçoit comme une injustice. Selon elle, la direction s'est refusée, "en plein accord avec le comité d'entreprise", à proposer "des reclassements indignes dans son usine de Roumanie au salaire de 110 euros par mois". (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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Ca peut choquer...
... Mais ca ne fait qu'environ 50k€ à verser par Olympia a chacun des salariés virés comme des chaussettes sales! Alors si leur délocalisation ne permet pas de gagner 10x cela, pourquoi l'ont-ils faite? Olympia ne se foutrait-il pas un peu du monde... mettant les emplois qui restent dans la balance (faussée) afin de continuer dans le dégueulasse: Le chantage après les délocalisations!
Encore une à sequestrer d'urgence...
La délocalisation dans le
La délocalisation dans le textile n'est plus 1 choix aujourd'hui,c'est 1 obligation si on ne veut pas mourir!et puis,attaquez vous à la bonne personne pour le "gagner plus",ne rêvez pas,ce sont bien les grandes surfaces, et notamment une marque qui prétend faire les prix les plus bas pour mieux faire "raquer" ses fournisseurs,qui réalisent encore plus de profits...voilà ce qui est dégueulasse