«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Les radios de Mogadiscio ont répliqué avec une ironie amère à l’ultimatum lancé par des insurgés islamistes interdisant la diffusion sur les ondes de toute forme de musique. Désormais, les chansons et les jingles laissent place à des enregistrements de coups de feu, un bruit auquel les oreilles des habitants de la capitale meurtrie sont malheureusement trop habituées [Lire l'article complet sur irinnews.org] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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