«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Les banques américaines et européennes n'ont pas été des victimes de la crise financière qui a éclaté aux Etats-Unis en 2008, mais sont coupables de l'avoir délibérément provoquée, estime mercredi une organisation américaine de journalisme d'investigation. Le Center for Public Integrity estime à 25 le nombre d'organismes de crédits immobiliers dont les prêts à risques consentis sont à l'origine de la crise du marché immobilier qui a éclaté en 2007 et qui a provoqué la crise économique. La plupart de ces organismes étaient détenus par des banques américaines et européennes ou bien n'ont pas pu consentir leurs prêts à risque, appelés "subprime", sans la complaisance des banques, indique l'organistation. [Lire l'article complet sur lalibre.be] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
A lire également :
|
|||