«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Une semaine après les manifestations d'indignation exprimées par les autorités politiques françaises après les révélations du Monde sur l'ampleur des interceptions électroniques réalisées, en France, par l'Agence nationale de sécurité (NSA) américaine, de nouveaux éléments montrent que cette émotion pouvait être, en partie, feinte. Mardi 29 octobre, devant la commission du renseignement de la Chambre des représentants, le chef de la NSA, le général Keith Alexander, a juré que les informations du Monde ainsi que celles d'El Mundo, en Espagne, et de L'Espresso, en Italie, sur l'interception de communications de citoyens européens par la NSA étaient « complètement fausses ». Il a précisé qu'il s'agissait de « données fournies à la NSA » par ces mêmes partenaires européens. [Lire l'article complet sur lemonde.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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