«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Toutes les menaces qui pèsent sur la liberté de la presse, introduites par le doyen dans son cadre juridique, sont égrenées. Jeudi 17 janvier. Faculté de Montpellier, l’amphithéâtre est plein. A la tribune : Yves Thréard, directeur adjoint du Figaro, Edwy Plenel, de MediaPart et Paul-Henri Antonmattei, doyen de l’Université de Droit, modérateur du débat. Face à eux : près de cinq cents spectateurs, des étudiants, des professeurs, des gens intéressés par l’avenir des medias et plusieurs responsables de la presse locale (Midi Libre, Montpellier Plus, La Gazette de Montpellier, l’Agglorieuse) venus parler de « la liberté de l’information en France ». Le débat est ouvert. Les deux figures de la presse évoquent les problématiques qui pèsent sur la presse française au titre desquelles l’enjeu de l’indépendance, politique et économique, et la concentration des titres. [Lire l'article complet sur hautcourant.com] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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