Le silence de Total suite aux accusations d’une ONG sur ses activités en Birmanie n’est pas innocent. Et confirme ce que Bakchich a toujours révélé : la complicité explicite du groupe français avec la junte birmane.
Seul un ordinateur éteint, enfermé dans un coffre-fort et enterré six pieds sous terre dans un endroit tenu secret peut être considéré comme sécurisé, et encore.
— Bruce Schneier