«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
L'ancienne porte-parole du procureur du Tribunal pénal international, qui devra s'acquitter de 7.000 euros d'amende, était poursuivie pour avoir divulgué des notes confidentielles qui prouveraient l'implication de la Serbie dans le génocide de Srebrenica. Florence Hartmann, 46 ans, était poursuivie pour avoir publié dans son livre "Paix et châtiment", paru en 2007, et dans un article publié en 2008, le contenu de deux décisions confidentielles du TPI. Ces documents auraient permis, selon elle, de prouver l'implication de la Serbie dans le génocide de Srebrenica (est de la Bosnie) qui a coûté la vie à près de 8.000 musulmans en 1995. [Lire l'article complet sur tempsreel.nouvelobs.com] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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