«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
La corruption est la principale préoccupation de la population afghane, devançant même l'insécurité, selon un sondage contenu dans un rapport de l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) publié mardi. Selon l'étude, ceux qui ont pour tâche de faire respecter la loi sont perçus comme ceux qui sont les plus coupables de la violer. Environ 25% des Afghans ont eu à payer au moins un pot-de-vin à des représentants de la police ou des autorités locales, et entre 10 et 20% à des juges, procureurs ou membres du gouvernement. La proportion monte à 40% lorsqu'ils ont eu à faire appel à des hauts représentants politiques. [Lire l'article complet sur un.org] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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