«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
La CGT dénonce l'intrusion de deux gendarmes dans les bureaux d'une association d'aide à l'insertion sociale. L'un d'eux a annoncé son licenciement à une salariée, qui l'a très mal vécu. Le syndicat raconte : « Il y a quelques jours, une patrouille de gendarmerie (...) a fait irruption dans le bureau d'une salariée, non pas pour rétablir l'ordre, car il n'y avait pas désordre, encore moins sur la voie publique, mais pour l'enjoindre de quitter son poste sans délai et, par là même, lui apprendre son licenciement à effet immédiat ! » [Lire l'article complet sur sudouest.com] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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ignoble, mais assez peu étonnant
avec un président de la république qui fait des procès à tour de bras tout en ayant lui meme traité au préalable un citoyen de "pov'con", joué les cow boys avec "descends si t es un homme", un président qui s'entoure de centaines de policiers à chacun de ses deplacements y compris dans de petites villes avec peu d habitants, qui interdit que les citoyens l approchent tout en constituant des lignes de faux citoyens lambdas autour de lui, qui sont en vérité des membres de l UMP et l acclament, un président qui decide de tout tout seul et fait modifier les lois et les institutions selon ce qui l arrange et ce qui arrange son clan, toujours + pour eux et - pour les citoyens y compris en termes de droits et de libertés,
il n est pas étonnant que certains patrons se croient autorisés à ce genre d'énormité et que certains représentants de l'ordre les suivent.