«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Le gouvernement grec est-il pris au piège de l’austérité renouvelée ou a-t-il obtenu le maximum en attendant des jours meilleurs? Décryptage d’une proposition qui doit encore rallier l’UE et... Syriza. Concessions importantes, déclarations favorables à Paris et à Bruxelles, mécontentement de l’aile gauche de Syriza, les prémices d’un accord entre le gouvernement grec et ses créanciers pour le versement des 7,2 milliards d’euros promis à Athènes sont palpables depuis lundi. [Lire l'article complet sur lecourrier.ch] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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