«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Séance de vote à l'Assemblée nationale, mercredi 7 septembre. Les députés examinent le projet de loi de finances rectificative. "La parole est à M. Jean-Michel Fourgous", annonce le président de l'Hémicycle. L'élu UMP n'a pas le temps de parler qu'il est interrompu par son collègue communiste Jean-Pierre Brard : "Avec Fourgous, je flaire le piège du Medef !" [Lire l'article complet sur tempsreel.nouvelobs.com] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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écran de fumée
le "communiste" Jean-Pierre Brard omet tout juste de préciser que c'est dans son existence même, que l'Etat est non seulement un lobby, mais le pion avancé du Capital. S'en prendre à... Fourgous, même s'il n'est pas ce que l'Hexagone a produit de plus intéressant, relève de la crétinisation méthodique du populo.
luc