«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Que risque un policier qui irait consulter les antécédents judiciaires de l’ex-mari de sa maîtresse dans les fichiers policiers ? Pas grand chose... Les articles 226-21 et 226-22 du Code Pénal punissent ce type de “détournement de données à caractère personnel” de cinq ans d’emprisonnement, et 300 000 euros d’amende. Thomas V., lieutenant de police, s’en est sorti avec 1 euro symbolique de dommage et intérêts. C’est la première fois qu’un policier est condamné pour avoir ainsi pioché dans le STIC à des fins privées. [Lire l'article complet sur bugbrother.blog.lemonde.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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