«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Il n'y a pas eu une, mais plusieurs dizaines – de trente à quarante, selon les sources – consultations, par des policiers, du dossier d'Ali Soumaré, le chef de file du PS aux élections régionales dans le Val-d'Oise, dans le système de traitement des infractions constatées (STIC) avant le 19 février. Ce jour-là, Francis Delattre et Sébastien Meurant, respectivement maires UMP de Franconville et de Saint-Leu-la-Forêt (Val-d'Oise) avaient, par voie de tract, qualifié M. Soumaré de "délinquant multirécidiviste chevronné", en délivrant au public des informations qui, pour partie, se sont révélées fausses. [Lire l'article complet sur lemonde.fr] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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