La France veut les bras, mais pas les visages. Imagine une journée sans travailleurs étrangers : chantiers stoppés, poubelles qui débordent, hôpitaux en PLS. On en parle ?
Si les travailleurs étrangers s’arrêtaient 24h, la France tournerait au ralenti : chantiers et transports stoppés, restos fermés, poubelles délaissées, hôpitaux en galère.
Ces femmes et ces hommes font tenir des secteurs entiers (bâtiment, resto, nettoyage, logistique, santé), mais bossent dur pour peu de reconnaissance et souvent dans la précarité.
Gros paradoxe : on dépend d’eux pour faire tourner le pays, tout en durcissant l’immigration et en les laissant sur le côté.