Trois nouveaux médias à oublier… Bernard Arnault s’apprête à devenir majoritaire de Challenges, Sciences et Avenir et La Recherche. Entre promesse de stabilité et soupçon d’ingérence, les rédactions redoutent un coup de barre idéologique.
Les journalistes redoutent un virage idéologique pro « économie libérale/monde de l’entreprise », poussé par Nicolas Beytout, au mépris de la charte éditoriale actuelle plus pluraliste. Ils parlent de risque de censure et d’atteinte à l’indépendance.
Le passif d’ingérences d’Arnault (éviction au sein des Échos, blacklist de médias) nourrit la méfiance, malgré les promesses de préserver les emplois.