Derrière une tablette fine, il y a rarement un voilier, une coopérative bio, et un artisan qui torréfie à la poêle. Samuel Moro, alias « Le Sauvage », fait partie de ces 200 chocolatiers français qui refusent le chocolat de couverture.
- Beaucoup de chocolatiers n’ont jamais vu une fève de cacao, mais Sam, lui, fait tout « de la fève à la tablette », y compris le transport en voilier, via son assoce Sailed Coop.
- Il choisit ses fèves en Colombie et en République dominicaine, payées bien plus cher que le cours mondial, pour garantir traçabilité, qualité et rémunération digne des producteurs.
- Les tablettes sont plus chères (7 à 10 €), mais Sam résume le truc d’un : « c’est comme comparer un vin de supermarché et un vin de producteur ».
Voir le site Xocolatl.fr ou le Mastodon.