«Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots» (Jean Jaurès)
Aux Etats-Unis, la banque tourne la page du scandale des devises. Elle admet sa culpabilité dans celui des taux d’intérêt. Un demi-milliard de francs pour effacer le passé. La première banque suisse a annoncé hier avoir tourné la page, aux Etats-Unis, de deux des scandales financiers les plus retentissants des dernières années. [Lire l'article complet sur tdg.ch] (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")
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