Tenter de neutraliser la parole féministe en la ramenant à une histoire d’insatisfaction personnelle, c’est encore ce que font beaucoup de médias, en 2025. Notamment dans les critiques de « La chair est triste hélas ».
Ce texte réagit aux critiques médiatiques de la pièce d’Ovidie, qui prône une grève du sexe et démonte le patriarcat. Il montre comment certains médias minimisent le propos politique en le réduisant à des histoires de « mal-baisées » ou de « bons amants », cadrant et neutralisant la parole féministe.
Le patriarcat a encore de beaux jours devant lui… 😭