Il ne s’agit pas de drogue. Ni de terrorisme. Mais de pouvoir, de contrôle & de coup d’État comme remède aux frustrations géopolitiques. Reste à savoir si (une fois encore) nous allons laisser faire.
Les États-Unis déploient une grosse armada près du Venezuela en parlant « lutte antidrogue », ou « antiterroriste », au choix, mais l’argument ne tient pas.
Les accusations contre Maduro manquent de preuves sérieuses (même les rapports officiels ne confirment pas), ça pue la fabrication du consentement.
Comme au Panama ou en Irak, le vrai enjeu, c’est le pouvoir et les ressources — notamment le pétrole — sous couvert de justifications pseudo-humanistes.
Une intervention serait un désastre : violence, exode massif, région déstabilisée, tout ça pour une histoire de gros sous.