À la Sorbonne, Frédéric Bonnaud, directeur de la Cinémathèque française, a affirmé que Maria Schneider n’avait pas été « abusée sexuellement ». Une sortie qui passe très mal, surtout face à des faits largement reconnus.
Lors d’une rencontre à la Sorbonne, Frédéric Bonnaud a nié que Maria Schneider ait été victime d’une agression sexuelle sur le tournage du Dernier Tango à Paris, ce qui a mis le feu aux poudres.
Pourtant, l’histoire dit clairement que la fameuse scène avait été préparée dans son dos, et que Schneider elle-même a parlé d’un viol filmé.
Les propos de Bonnaud montrent que certains continuent à refuser cette réalité, tandis que des médias conservateurs dénoncent une soi‑disant « censure » plutôt que de parler du viol.
La Sorbonne a vite réagi : excuses officielles, et une procédure interne lancée pour éclaircir la situation.