Au Royaume-Uni, un rapport de l’Institute for Public Policy Research (IPPR) révèle que 31 % des salariés ont séché le boulot après une soirée arrosée, et 22 % sont venus travailler avec la gueule de bois.
Jeunes et cadres sont les plus concernés, et les buveurs réguliers ont trois fois plus de risques de faire du présentéisme improductif. Pour l’IPPR, cette « culture de la boisson » plombe la productivité autant qu’elle pose un enjeu de santé publique.
Remèdes proposés : sensibilisation en entreprise, hausse annuelle des taxes sur l’alcool de 2 points au-dessus de l’inflation et prix plancher national.