Entre menaces de frappes et opérations clandestines de la CIA, Donald Trump durcit le ton contre Nicolás Maduro, qu’il accuse de « narco-terrorisme ». Caracas dénonce une tentative de putsch et mobilise l’armée le long de la frontière colombienne.
Donald Trump affirme avoir autorisé des actions clandestines de la CIA contre le Venezuela et dit envisager des frappes, accusant Maduro de diriger un régime de “narco‑terrorisme”.
Maduro dénonce un prétexte pour imposer un changement de régime et s’emparer du pétrole vénézuélien, rejetant « les coups d’État fomentés par la CIA ».
Le ministère vénézuélien des Affaires étrangères condamne ces déclarations comme une violation grave du droit international.
Les États‑Unis ont déjà mené des opérations en mer contre des embarcations de narcotrafiquants et Trump laisse entendre que des actions terrestres pourraient suivre.
En réponse, Maduro intensifie des manœuvres militaires, notamment à la frontière colombienne, et annonce une mobilisation générale pour défendre le territoire et “gagner la paix”.