Les mots ont un sensQuand le 11 Septembre se réinvite dans les milieux "autorisés"
La fin du blackout ? La lumière revient, par à-coups. Il semblerait qu’on puisse à nouveau parler du 11 septembre, voire même remettre en cause la version officielle, sans être taxé de « conspirationniste » et de se voir convoqué d’office à l’hôpital psychiatrique…
Plusieurs faits marquants se sont produits récemment.
Un sondage réalisé entre le 23 et le 27 août 2007 par le très sérieux institut Zogby. Les résultats sont étonnants : 26% des personnes interrogées pensent que les autorités étaient au courant et ont laissé faire, 5% pensent que les autorités ont commandité ces attentats. 37% pensent que l’enquête n’a pas été menée sérieusement et qu’il faut la rouvrir. 51% veulent une enquête du Congrès sur les actes du président George W. Bush et de son vice-président Dick Cheney avant, pendant et après les attentats du 11 septembre 2001. 32% estiment qu’une procédure de destitution doit être immédiatement entamée à la Chambre des Représentants à l’encontre de MM. Bush et Cheney.
Le 30 Novembre 2007, le quotidien italien Corriere Della Sera publie une déclaration fracassante de l’ancien chef d’Etat italien Francesco Cossiga. Il y annonce que les attaques du 11 septembre 2001 sur les tours du World Trade Center à New York ont été mises en scène par les services secrets des Etats-Unis et de certains pays arabes. Il déclare aussi que la plupart des services secrets du monde sont au courant. Cette déclaration n’a pas été commentée, ni par le monde politique, ni par la presse.
Le 11 janvier 2008, au Japon, une commission parlementaire, présidée par Yukihisa Fujita a violemment pris à partie le Premier ministre et le gouvernement en poste. La commission vient de se rendre compte que, six ans après les attentats du 11 septembre, le gouvernement n’est toujours pas en mesure d’expliquer les faits et de confirmer que les attentats ont été commandités par Al Qaïda. La commission met alors sous le nez des responsables gouvernementaux des « incohérences », Yukihisa Fujita parle même de « preuves ». Chose étonnante, ces « preuves » sont connues depuis bien longtemps, pour quiconque connait un bon moteur de recherche. Mais jusqu’à présent, ces « preuves » étaient considérées comme de confuses élucubrations sans aucun fondement. Aujourd’hui, c’est le principal parti d’opposition japonais qui les reprend à son compte. Et ça change tout.
Le 26 février 2008 aura lieu une soirée historique au Parlement Européen de Bruxelles. L’eurodéputé italien, Giulietto Chiesa, organise la projection de son film « Zéro enquête sur le 11 septembre ». Ce documentaire est le fruit d’un travail collectif de huit mois d’enquêtes, de reportages et d’interviews en Europe et aux Etats-Unis. Il met en avant toutes les incohérences, manipulations, omissions et mensonges de la version officielle. Cette soirée sera suivie d’un débat avec, entre autres, Giulietto Chiesa (journaliste et homme politique italien, membre de la commission d’enquête du Parlement européen sur les prisons secrètes de la CIA), Andreas von Bulow (ancien Ministre allemand et spécialiste des services secrets), Pr. David Ray Griffin (auteur de quatre livres de référence sur le 11 septembre et spécialiste des processus d’étude) et Yukihisa Fujita (député japonais).
La contestation prend une nouvelle dimension. De l’underground cloisonné d’Internet, le doute se propage aux parlements japonais et européens ainsi qu’au peuple américain, sans passer par la case… « médias de référence ». C’est une première.
Informations complémentaires :
Dossier reopen911.info sur les doutes et les accusations relatifs au 11 Septembre.
Liste des dossiers reopen911.info