L’avocat de l’ONG Transparency international dénonce une « association de malfaiteurs franco-africaine », après que la demande d’enquête sur les conditions d’acquisition du patrimoine immobilier en France des présidents gabonais, guinéen et congolais a été refusée.
Après le refus de la cour d’appel de Paris d’ouvrir une enquête dans l’affaire dite des « biens mal acquis » par plusieurs chefs d’Etat africains et leur entourage, l’avocat de Transparence Internationale, l’ONG qui a porté plainte, a dénoncé jeudi 29 octobre « l’association de malfaiteurs franco-africaine ».