L’atmosphère terrestre a connu en 2024 une augmentation sans précédent du dioxyde de carbone (CO₂), un gaz qui contribue au réchauffement de notre planète.
Le CO₂ mène la danse du réchauffement (représentant 80 % depuis 1990) : il chauffe la planète, dérègle la météo, fait monter les mers — bref, il met tout le monde sous pression, d’où l’urgence de couper les émissions.
En 2024, la Chine pèse 29,2 % des rejets, les États-Unis 11,1 %, l’Inde 8,2 % ; et globalement, les efforts sont jugés “très/critiquement insuffisants”, avec des va-et-vient politiques qui n’aident pas.
Le méthane et le protoxyde d’azote battent aussi des records, tandis que les boucles de rétroaction affaiblissent les puits de carbone (océans, forêts) et accélèrent encore le bazar.
La sortie de crise est claire : baisser fort et vite les émissions, passer aux renouvelables, mieux surveiller, et restaurer/protéger forêts et océans pour relancer l’absorption naturelle.