Lorsqu’un « casse du siècle » survient pour la première fois, c’est vraiment un « casse du siècle ». A la seconde édition, cela tourne à la négligence. A la troisième, on peut commencer à parler de philanthropie.
Visa, durant la dernière trêve des confiseurs, aurait été victime d’un formidable casse à la carte de débit portant sur 9 millions de dollars dans un premier temps, puis 2 millions de dollars supplémentaires quelques jours plus tard.