En 2025, la France a donné l’impression d’avancer vers l’écologie… tout en faisant exactement l’inverse. Entre pesticides blanchis, violences policières niées et eaux polluées tolérées, l’année ressemble à un manuel de désinformation officielle.
En 2025, le gouvernement a enchaîné les reculs écologiques en pipotant pour faire passer ses décisions, notamment autour de la loi Duplomb et de son pesticide polémique. Annie Genevard a défendu l’acétamipride avec des arguments faux du style « c’est sans danger, même pour les abeilles », alors même que les données scientifiques pointent des risques sérieux.
Les vidéos de Sainte‑Soline ont explosé le déni officiel : on y voit des gendarmes encouragés à tirer illégalement et même à « tuer », tandis que le ministre minimise en disant qu’il n’est « pas content ».
Le gouvernement savait depuis des années que Nestlé trichait et vendait des eaux polluées, mais a laissé faire — voire aidé — tout en niant toute connivence.
L’année de la mer, décrétée par Macron, s’est transformée en festival d’approximations, de mensonges et de contre-mesures néfastes pour les océans.
Enfin, la « souveraineté alimentaire » version gouvernement est un pur détournement : produire plus pour exporter plus, ce que la Confédération paysanne résume en une phrase : « du grand théâtre, du foutage de gueule ».