Quand la reine faiblit et ne pond plus suffisamment d’œufs (souvent à cause de virus), les ouvrières lancent un (grand) « remplacement » (supercédure) pour sauver la colo.
Les virus réduisent ses ovaires et la phéromone clé (méthyl oléate), ce qui signale le problème.
Utile dans la nature, ce putsch secoue les ruches gérées : trous de ponte, moins d’abeilles, moins de miel et de pollinisation.